L’Ufcv en Hauts-de-France ouvre ses formations professionnelles habilitées à l’apprentissage et signe un nouveau partenariat avec l’ARFA : Association régionale pour la formation des animateurs.
Former les jeunes à l’animation avec l’apprentissage
Cette année, l’Ufcv s’est positionnée sur le Programme Régional de Formation des Hauts-de-France en groupement avec d’autres associations d’éducation populaires, débloquant ainsi des fonds pour la formation des jeunes.
Dorénavant, ses formations qualifiantes BPJEPS et DEJEPS seront ouvertes à l’apprentissage, sans limite de places. Une demande d’habilitation est également en cours sur la formation CPEJSP.
« Nos parcours de formation sont interactifs et nous nous réjouissons que ces formations puissent permettre la rencontre et le partage d’expériences de trois publics différents : les salariés, les apprentis et les demandeurs d’emplois. », confie Nathalie Bartholet, Responsable régionale de la Formation Professionnelle à l’Ufcv.
Le démarrage des formations est prévu le 1er juin prochain, en présentiel ou à distance, en fonction de l’évolution de la situation sanitaire.
L’Ufcv et l’ARFA, un partenariat historique
L’Ufcv siège au Conseil d’administration de l’ARFA depuis sa création. En Ile-de-France, 15 apprenti·es par an en moyenne se forment au BPJEPS avec l’Ufcv et l’ARFA. À partir de la rentrée prochaine, la délégation accueillera également des DEJEPS et des DESJEPS en apprentissage.
La signature de cette nouvelle convention dans les Hauts-de-France est donc une nouvelle étape, saluée par Gauthier Herbomel, Délégué régional de l’Ufcv :
« L’Ufcv Hauts de France est ravie de la signature de cette convention avec l’ARFA, qui va permettre d’ouvrir toutes les formations à l’accueil d’apprentis et ouvrir une nouvelle voie pour notre jeunesse dans ce contexte si particulier. »
Covid-19 : Un plan de relance de l’apprentissage
Face aux conséquences économiques et sociales de la crise sanitaire, le gouvernement a mis en place le plan « Un jeune, une solution » pour favoriser l’insertion des jeunes sur le marché de l’emploi.
Le soutien financier apporté aux employeurs recrutant des apprenti·es a été prolongé jusqu’à la fin de l’année 2021. Les associations peuvent donc, elles aussi, prétendre à cette aide.
« Aujourd’hui, grâce aux aides mises en place, les acteurs de l’animation peuvent contribuer à l’embauche d’un jeune en apprentissage : cela ouvre des perspectives ! », se réjouit Nathalie Bartholet.
En 2020, l’Ufcv s’était engagée à recruter au moins 30 alternant·es du secteur de l’animation : l’association ne compte pas s’arrêter en si bon chemin !
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